10 étapes pour réussir – 4/10

L’objectif en 5 étapes

L’objectif en 5 étapes

Zoom sur l’objectif

Pour définir les objectifs, vous allez guider une personne dans ce qu’on appelle un 360 degrés.

Le 360 degrés

« Soyez toujours une version première classe de vous-même plutôt qu’une version seconde classe de quelqu’un d’autre. » Judy Garland

La finalité de l’exercice est de vous amener à faire un tour d’horizon des domaines qui sont importants dans votre vie. Attention, la vraie question n’est pas : « Qu’est-ce qui est important? », car ceci renvoie aux aspirations. Le sujet qui nous intéresse est celui des domaines importants : secteur de la famille, de la santé, des loisirs, du travail, des finances, du social …

Prenons, à titre d’exemple, une conversation avec un participant au cours de base PNL :

– Aujourd’hui, quels sont les domaines qui sont importants pour toi ?

– L’amour de soi et des autres.

Voyez, l’amour est une aspiration, quelque chose qu’il a envie de vivre. Je reviens aux domaines :

– Quel serait le domaine dans lequel tu aurais envie de vivre ça ?

– La famille.

– Est ce qu’il y a un autre domaine ?

– Les amis

– Tu vois autre chose encore quand tu balaies différents domaines ?

– Il y a la famille et les amis.

– Si tu cherches un petit peu, est ce qu’il y a autre chose ? D’autres domaines, d’autres champs, d’autres préoccupations ?

Par exemple, pour certains ce sera peut-être une activité sportive, pour d’autres, la relation avec leurs collègues de travail, avoir du temps pour soi. Il n’y a pas de réponse plus juste qu’une autre. Au final, on demandera : « Quand tu y repenses, s’il y avait une chose sur laquelle tu voudrais le plus avancer maintenant, ce serait plutôt laquelle ? »

L’étape suivante sera de tirer de cet exercice les objectifs que la personne veut se fixer.

Évitez le piège qui consiste à tomber dans la discussion de palier : vous donnez votre opinion, vous suggérez d’autres choses, etc.  Je vous rappelle que le rôle de la personne qui accompagne est de questionner uniquement.

Je vous raconte la métaphore du professeur qui fait une démonstration à ses élèves : il a un pot devant lui et il le remplit de cailloux. Lorsque le pot est rempli, il demande à ses élèves : « Le pot est-il plein ? » Les élèves répondent : « Oui. » Le professeur rétorque : « Non, le pot n’est pas plein, je peux encore mettre du gravier. »  Il y rajoute du gravier puis repose la même question. Les élèves, qui commencent à saisir, disent : «  Non, on peut encore mettre autre chose. On peut mettre du sable. » Il y rajoute du sable et repose la question. «  Non on peut encore mettre de l’eau. » Il y rajoute de l’eau.

L’objet de la démonstration est de montrer que, si je veux avoir une vie pleine de ce qui est important, je dois commence par y mettre les choses les plus importantes pour moi.

Partant du domaine le plus important pour vous, vous allez parcourir
les cinq étapes suivantes :

1. La conscience du résultat

2. Les conséquences

3. Les alliances

4. Les premiers pas

5. La conscience de l’énergie interne.

Étape 1 : Conscience du Résultat

En reprenant le même exemple que précédemment, on va amener la personne dans la conscience sensorielle de ce qu’elle poursuit pour l’inciter à en créer une représentation la plus précise possible. Si par exemple, je prends la vie de couple :

– Nous sommes en avril. Imagine que tu aies progressé dans le domaine de ta relation de couple, à quoi le saurais-tu ?

– Je me poserais moins de questions.

– Si tu te posais moins de questions, tu ferais quoi ?

– Je vivrais pleinement mon bonheur.

Vous allez voir, c’est encore très tentant de faire des propositions. Surtout évitez cela. Ce n’est pas parce que la réponse n’est pas immédiate qu’il n’y a pas de réponse. Vous verrez, il y a toujours une réponse qui vient, il faut simplement laisser le temps à la personne de faire les connexions nécessaires. Tout comme on pourrait lui laisser le temps de retrouver un souvenir passé, on peut lui laisser le temps de créer un « souvenir » futur.

Poussons le bouchon plus loin en lui proposant d’imaginer la séquence :

– Imagine que tu te voies vivre avec ton partenaire de vie et que tu sois exactement comme tu voudrais être, c’est à dire davantage dans cette conscience de vivre ce que tu as envie de vivre. Vois-tu des choses particulières dans ta manière de l’aborder, d’être avec lui ?

– Je serais moins passive, plus active.

– Tu as des exemples de comportements que tu aurais ?

– Oui. Prendre plus d’initiatives pour organiser des choses. Ne pas attendre que ce soit lui qui prenne l’initiative.

– Etre à l’origine de l’initiative. Ce serait une belle façon pour toi d’être plus en contact avec ce que tu as envie de vivre. Est ce que tu vois d’autres choses ?

– Prendre plus soin de lui. Il participe énormément, mais je me repose peut-être trop sur lui.

– D’autres initiatives qui auraient pour but de…

– De moins me reposer sur lui au niveau des travaux ménagers.

– Par exemple de faire certaines choses que lui fait et que tu ….

– Que j’estime que c’est à moi aussi de participer.

– Il y a à la fois l’idée d’entreprendre des projets qui consisteraient à aller au restaurant, faire de nouvelles choses et tu serais plus à l’initiative des moments sympas que vous pourriez vivre ensemble et aussi, dans la vie quotidienne, un certain nombre de tâches que tu laisses un peu faire et que tu pourrais prendre en charge. Est-ce qu’il y a encore d’autres choses qui feraient vraiment la différence, qui feraient vraiment une vie de qualité pour toi ?

– Pour l’instant c’est tout.

Le but de cette première étape est de vous mettre véritablement en contact avec ce que vous souhaitez réaliser. Par exemple, vous découvrez ce qui vous permet de savoir que vous êtes plus en harmonie, que vous êtes plus dans l’amour. Quelquefois vous découvrez que vous y êtes déjà en partie. Il y a des gens qui y sont sans s’en rendre compte.

Étape 2 : Les Conséquences

Imagine, que tu aies vraiment progressé dans ce domaine, que tout comme tu peux le faire dans les journées qui vont venir, ou tout comme tu aurais déjà pu le faire, imagine que tu fonctionnes maintenant plus souvent sur ce mode là. C’est-à-dire que non seulement tu es capable d’inventer des nouvelles sorties, des trucs un peu surprenants, d’être une force de proposition, mais encore tu peux te rendre compte qu’il y a un certain nombre de tâches que tu gères par toi-même, qui montreraient que tu prends vraiment les choses en main. Quelles seraient les conséquences pour toi si tu fonctionnais sur ce mode-là ?

– J’aurais plus de temps pour moi, pour autre chose.

– Tu dis : si je prenais en charge régulièrement ces choses-là, j’aurais plus de temps pour moi et du coup je pourrais faire d’autres choses. Tu vois d’autres choses encore ?

– Perdre moins d’énergie.

– OK, moins d’énergie, plus de temps. Tu peux imaginer ça ? Imagine qu’on t’ait filmé dans ta vie quotidienne, on repasse le film. Qu’est-ce que tu en tires d’autre, d’important pour toi ? Qu’est-ce que ça vient nourrir de plus fondamental ?

– Une sérénité.

– Donc non seulement tu gagnes du temps mais, au delà de ça, tu en tires une plus grande sérénité. Tu vois d’autres choses que la sérénité ?

– Sérénité, bonheur, joie de vivre.

En touchant au but du but, on parvient à des réponses en termes d’aspirations et de valeurs.
La première étape vous interroge sur que vous allez entreprendre et la deuxième donne un retour en terme de valeurs.

Continuons :

– Si tu fonctionnes plus dans ton quotidien en prenant l’initiative d’un certain nombre de choses, à terme, tu gagnes en terme de sérénité, joie de vivre. Vérifie au passage, plus d’amour, plus de sérénité, que ce soit une chose vraiment importante pour toi. Prends un instant pour vérifier ça. Si on te présentait sous cet angle ce serait satisfaisant pour toi, quelqu’un qui aspire à la sérénité ?

– La sérénité oui, c’est sûr… C’est vrai qu’avec plus de réflexion…

– Tu veux dire que prendre des initiatives, ce ne serait pas une bonne chose ?

– Je ne suis pas sûre, en fait.

– Ça vaut le coup de recaler les choses. Quelle idée par exemple tu pourrais avoir si tu prenais des initiatives, en quoi ça pourrait être un frein au fait de trouver de la sérénité ?

– Trop prendre d’initiatives pourrait m’amener au résultat inverse : avoir moins de temps pour moi.

– Une sorte de pression ? Donc tu sens qu’il y a une juste mesure à trouver, qu’il y a certaines choses que tu peux faire qui entraîneront du plaisir et, en même temps, tu as le souci de ne pas tomber dans l’excès inverse. C’est ça ?

– Oui.

Ce qu’on vient de découvrir est très important. Forte de la conscience de ce qu’il veut nourrir derrière, il peut réorganiser ou peaufiner l’objectif. Ce n’est pas prendre toutes les initiatives, c’est prendre quelques initiatives.

– Au passage, tu penses à certaines initiatives que tu pourrais prendre et qui seraient vraiment un moyen de développer de la sérénité ?

– Oui. Organiser des petites soirées, de temps en temps.

– Une fois par mois, une fois par semaine ?

– Une fois par mois, c’est déjà pas mal.

– OK.

Ces deux étages sont très importants : l’objectif que vous poursuivez d’une part et les conséquences de cet objectif d’autre part.

Étape 3 : Les Alliances

« Quand un homme est dans sa légende personnelle, l’univers entier conspire à sa réussite. » – Paolo Coelho

A ce stade, on va prendre en compte votre environnement.  On observe souvent qu’un certain nombre de gens renoncent à des projets non pas parce qu’ils s’en désintéressent mais parce qu’ils ont réalisé que cela avait des conséquences indésirables pour leur environnement. Par exemple : ils avaient décidé d’aller faire un peu de sport le vendredi soir en sortant du boulot et ils se sont rendus compte que cela avait des conséquences négatives dans leur vie familiale. Alors ils ont renoncé. L’idée développée ici est de prendre en compte l’environnement de la personne, les gens directement ou indirectement concernées et de se demander en quoi l’objectif poursuivi prend en compte leurs intérêts.

Revenons à notre exemple :

– Imagine que tu fonctionnes comme ça, quelles seraient les conséquences positives pour les personnes impliquées ? Quel intérêt il pourrait y avoir pour ton partenaire dans le fait que tu prennes l’initiative d’organiser une soirée par mois, dans le fait que tu poursuives ton objectif ?

– Je pense que pour lui ça peut être aussi un développement personnel de rencontrer des gens.

– D’autres choses ?

– Le fait de me voir plus à l’aise aussi. Ça peut être, pas un engrenage, mais… j’en prends plus, il en prend plus.

 

– Vous en profitez plus ensemble ?

– Oui

– Y a-t-il des inconvénients ?

– Oui.

– Lesquels ?

– Le fait qu’on ne soit plus que tous les deux tout le temps.

– Le fait que vous soyez en permanence avec d’autres personnes ?

– Oui.

– Du coup, ça amène un niveau de vigilance. Préserver des moments ensemble. Pose-toi la question : est-ce que tu peux en faire un allié, en poursuivant ton objectif ?

– Oui.

– Comment ? Que faudrait-il pour qu’il soit un allié ?

– Qu’il me soutienne.

– Tu penses qu’il serait d’accord pour te soutenir dans cette dimension ?

– Oui.

– Tu vois d’autres personnes qui pourraient être concernées par cet objectif ?

– Non.

En développant la PNL, on voit apparaître la notion d’écologie : la prise en compte d’un environnement. Vous vérifiez que ce que vous poursuivez est positif pour les personnes qui vous entourent. L’idéal c’est quand vous pouvez répondre oui aux trois questions : bon pour moi, bon pour les autres, bon pour l’univers.

Quelquefois nous nous mettons des barrières parce que nous pensons que les objectifs que nous poursuivons n’ont pas d’intérêt pour les autres. Quelquefois, en parlant simplement de nos objectifs et de nos motivations, nous allons trouver des alliés et c’est eux qui nous rappelleront le vendredi soir que nous avions prévu d’aller courir.

Étape 4 : Les Premiers Pas

Quelle que soit la longueur du voyage, le plus important est les premiers pas. Faire le premier pas, c’est définir des indicateurs de bonne direction :

– A quoi vas-tu savoir que tu avances vers ton objectif ? Imagine que tu prennes ça en compte dans la semaine qui va venir. Par quoi vas-tu commencer ?

– Soit par passer un coup de fil, soit par me renseigner sur un bon resto.

– Par exemple, organiser une soirée dans la semaine, de manière un peu inattendue, et être à l’origine de la proposition ?

– Oui.

– Tu vois ça d’ici une semaine ? Concrètement ?

– Concrètement, pas cette semaine, mais dans quinze jours ou trois semaines plutôt.

Là, il ne faut pas laisser la personne dans le flou du « dans quinze jours ou trois semaines ». Appelons cette phase « agenda ». C’est le moment où elle va structurer dans le temps concrètement ce qu’elle décide.

Dans les indicateurs de bonne direction, il est important de savoir que vous avez surtout besoin d’indicateurs signalant que vous êtes dans la bonne direction. Les indicateurs de mauvaise direction sont inhibiteurs.

Imaginez deux personnes dans un immense stade de foot. Elles ont les yeux bandés. On va demander à chacune de ces personnes, A et B, de faire un parcours sinusoïdal. A chaque fois que la personne A va dans la mauvaise direction, on la pique avec une aiguille. Que va-t-il se passer ? Elle va s’immobiliser, elle va inhiber son mouvement. Imaginez maintenant que la personne B n’a pas de retour quand elle est dans la mauvaise direction et que, par contre, elle est acclamée par dix milles personnes quand elle est dans la bonne direction. Que va-t-il se passer ? Il y a plus de chances pour la personne B que pour la personne A d’arriver au but.

Dans les indicateurs, c’est cette idée qu’il faut retenir : vous avez davantage besoin d’indicateurs qui vous montrent que vous êtes dans le bon mouvement que d’indicateurs qui vous montrent que vous êtes dans le mauvais.

C’est cela l’idée du premier pas : c’est amener dans la conscience les gestes à réaliser et non pas ceux qu’il faut éviter. Si par exemple vous voulez développer chez une assistante qui répond au téléphone des compétences d’accueil, il vaut bien mieux que vous lui montriez comment s’y prendre plutôt que lui faire des remontrances sur ce qu’elle ne fait pas bien.

En termes de stimulation c’est la même chose. On va amener la personne dans la conscience du geste juste en soulignant ce qu’elle fait bien :

– Concrètement, la semaine prochaine, s’il y avait une action qui montre que tu prends en compte ce domaine-là, par quoi pourrais-tu commencer, même si c’est une petite chose ?

– Lui acheter un cadeau.

– A quel moment tu pourrais faire ça ?

– C’est-à-dire faire l’achat ou lui offrir ?

– Les deux.

– L’achat, c’est le moment le plus difficile à trouver. Lui donner, c’est facile. Mais c’est vraiment trouver le moment de me jeter à l’eau.

– Tu vois à quel moment tu pourrais faire ça ?

– Non, j’ai du mal. La journée je travaille de 8h00 à 19h00 et…

– Est-ce qu’il y a un autre moment où tu pourrais ?

– Ben, il y a le week-end.

– Oui.

– Mais c’est vrai que j’ai l’impression que le week-end, il faut toujours qu’on soit ensemble. Donc, pour lui faire un cadeau, ce n’est pas facile.

– Quelle serait le moment le plus opportun ?

– Ben, le plus opportun pour l’achat, ce serait en semaine.

– A quel moment ?

– Soit entre midi et 14h00, soit en sortant du travail

– Par rapport à l’endroit où tu travailles, entre midi et 14h00, quand tu y penses, est-ce qu’il y a un endroit où tu pourrais aller ?

– Oui.

– Tu penses à un endroit précis.

– Oui.

– Et est ce qu’il y a un jour qui serait plus adapté qu’un autre ?

– N’importe quel jour de la semaine.

– Si on mettait mardi par exemple. Tu peux imaginer ça : mardi, à l’endroit que tu connais, prendre le temps d’aller acheter un cadeau pour pouvoir ensuite lui offrir ? »

Là on a quelque chose de précis, de concret.

Étape 5 : Conscience de l’Énergie Interne

« Vous avez rendez-vous avec votre vie dans le présent. Si vous ratez ce rendez-vous, vous risquez aussi de rater votre vie. » Tich Nath Han, moine bouddhiste

– Dernier point. Imagine que tu aies vraiment pleinement réussi dans ce domaine, non seulement à acheter le cadeau mais aussi à lui offrir. Tu peux imaginer ça ?

– Oui

– Qu’est ce que tu ressens ?

– Le bonheur d’avoir réussi quelque chose.

– Un bonheur. C’est un sentiment que tu ressens où dans ton corps ?

– Dans la poitrine

– Si cette sensation était une couleur, ce serait quelle couleur ?

– Le rouge

– Maintenant, reprend ton objectif, de a à z. Pouvoir prendre plus de temps pour vivre pleinement ta vie de couple. Une belle façon de faire ça, c’est d’organiser des choses à l’extérieur. On a vérifié que c’était juste pour lui aussi, qu’il pourrait tirer un avantage. Une façon de faire le premier pas, ce serait d’acheter, mardi entre midi et 14h00, un cadeau que tu lui offrirais le soir. Vérifie que pour toi ce serait une bonne façon de te comporter par rapport à la représentation que tu as de la vie de couple.

– Oui, et puis c’est vrai que j’ai peur de sa réaction ou de son absence de réaction.

– Au pire, qu’est-ce qu’il peut t’arriver ?

– Qu’il n’y ait pas de réaction.

– On verra aussi aujourd’hui comment une absence de réaction est aussi une réaction. Comment tu te sens par rapport à ton objectif ?

– Une appréhension.

– Une appréhension quant à la réaction de la personne. S’il y avait une réaction, ça vaudrait le coup ?

– Oui.

OK. Donc, vous avez vu la dernière étape ? Vous faites une petite chose, qu’on verra plus en détail, vous mettez la personne dans un état émotionnel qui est lié à la satisfaction de l’objectif. Ensuite, fort de cet état émotionnel, vous allez associer la représentation de toutes les étapes. Ce qui est intéressant à travers ces questions, c’est que la personne va faire des connexions neuronales importantes.

Il existe des centaines de bouquins de toutes sortes sur les objectifs. En PNL, pour aujourd’hui, on voit le plus simple et le plus courant. Il y a des cas, bien sûr, où on peut approfondir. Je vous garantis que vous réglerez plus de 80% des situations que vous allez rencontrer avec cette méthode.

L’important c’est de bien saisir la différence entre les étapes successives : amener la personne dans la conscience de ce qu’elle cherche, dans la conscience des conséquences pour elle, dans la prise en compte de l’environnement direct ou indirect, dans l’étape qui consiste à clarifier comment elle va y aller et par quoi elle va commencer, et enfin dans l’association de toutes les étapes avec l’état interne directement rattaché à la satisfaction de l’objectif. Ce sont différents niveaux de conscience.

Le mieux maintenant c’est de les faire vous-même. Vous allez peut-être me demander :

– Quand vous êtes en accompagnement, et que vous arrivez à la fin des étapes de prise de conscience, laissez vous fonctionner le libre-arbitre complet ou faites vous prendre conscience d’un engagement ?

Ça va dépendre de la fonction d’accompagnement que vous avez à ce moment là. Si vous êtes dans un cadre de coaching, vous allez demander des réponses plus précises en termes d’engagement. Nous pensons vraiment que dans chaque personne, il y a toutes les réponses appropriées. En PNL, la réponse doit toujours venir de l’intérieur de la personne.

Un autre aspect primordial est la formulation positive des objectifs : énoncer ce que vous voulez plutôt que ce que vous ne voulez pas. Par exemple, décider de ne plus être en retard n’est pas un objectif de qualité. Par contre, décider d’arriver une minute avant l’heure est un objectif de qualité. Vouloir arrêter de fumer n’est pas non plus un objectif en PNL. Le véritable objectif en l’occurrence sera de satisfaire d’autres besoins tels que davantage d’énergie ou vous sentir bien quand vous respirez.

On parle aussi d’objectif contextualisé : où, quand, comment, avec qui ? On peut aller loin dans la conception de l’objectif.

Ceci est la fin du chapitre sur les objectifs.  La prochaine étape de ce mini cours, vous permettra de comprendre les principes de la mobilisation des ressources.

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